Miriam réfléchit présentement à l’effet du postcolonialisme sur des langues et mémoires trouées à travers
l’écriture poétique.
Camille travaille sur les rencontres possibles entre les sciences de la mer et la littérature. Pour cela elle s’intéresse aux méthodes et rituels pour convoquer « le savoir » quand la pensée achoppe.